L'ANFH et le CNFPT renouvellent leur convention partenariale triennale, initialement signée en 2019, afin de poursuivre et d’enrichir leur collaboration, fondée sur leur mission commune de formation professionnelle pour les agents des fonctions publiques territoriale et hospitalière. Grâce à leur maillage territorial (18 délégations et 5 instituts pour le CNFPT, et 16 délégations régionales regroupant 26 délégations territoriales pour l'ANFH), les deux structures répondent de manière locale et adaptée aux besoins des agents.
Ce partenariat, renouvelé pour trois ans, vise à renforcer les synergies entre les deux structures et à fournir une réponse coordonnée aux défis actuels des agents publics. Les actions déjà engagées pourront ainsi s’intensifier entre les structures, qui collaborent sur des sujets communs.
Les principaux axes du partenariat 2024/2027
La nouvelle convention prévoit plusieurs axes de coopération afin d'optimiser les offres de formation et de services proposées aux structures publiques et aux agents :
- Développement d'une offre de services et de formation commune sur des thématiques partagées, telles que la santé, l'éducation à la santé, le sport-santé, ainsi que des compétences clés, en tenant compte des besoins des agents, notamment ceux des publics fragilisés.
- Partage d’éléments autour des formations à la transition écologique en proposant des outils et des formations dédiées à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, à la gestion des ressources et à la sensibilisation au développement durable.
- Mutualisation d'expertise pour mieux cerner les besoins des agents des deux fonctions publiques, des échanges de pratiques pour enrichir les formations (à titre d’exemples sur les compétences clés) ainsi que la co-organisation d'événements comme des colloques ou des webinaires.
Dans le cadre de la convention 2019-2023, l’ANFH et le CNFPT ont co-organisé, entre autres, des journées autour de la gérontologie en Bretagne, des journées thématiques sur des sujets santé-social en Guyane, et ont permis l’accès à certaines formations pour les trois versants de la fonction publique en Nouvelle-Aquitaine, en Corse, et à Mayotte.