E-learning Guide de conception de formation ouverte et à distance (FOAD) dans le monde de la santé. HAS, avril 2015
Le développement des technologies de l’information et de la communication pour l’éducation (TICE) amène à une utilisation accrue des formations ouvertes et à distance par voie électronique (e-learning). Différents éléments présents dans ces formations sont intégrés afin d’améliorer l’efficacité de l’apprentissage. Parmi ceux-ci sont cités : l’évaluation des besoins, les publics visés, l’accessibilité, l’attrait de la formation, le potentiel d’interactions, la communication avec les personnes ressources, le soutien technique et pédagogique, le niveau de validité scientifique, le type de démarche évaluative, le suivi de l’apprenant et la préoccupation éthique et juridique.
Ce guide devrait permettre de mieux définir :
les différents types et modalités de formation continue en ligne
la construction et la structure de programmes de formation continue en ligne ;
les différents moyens et outils disponibles à utiliser lors d’une formation en ligne à destination des professionnels de santé.
Dans le contexte de la formation continue en santé, il est également utile de rechercher les bonnes pratiques utilisées et de comprendre comment les intégrer dans la construction de programmes de e-learning adaptés. Une compilation des revues systématiques et des essais comparatifs a permis de recenser les tendances actuelles en formation initiale et continue.
Des éléments juridiques concernant la diffusion en ligne de données sont également recensés.
Au final, la rédaction de ce guide doit permettre de fournir des éléments concrets pour construire des programmes de formation de type e-learning pertinents pour les professionnels de santé.
Ce guide est destiné aux personnes impliquées dans l’élaboration et la mise en place de programmes de formation par e-learning pour les professionnels de santé en France dans le cadre de la formation continue ou du développement professionnel continu. Il n’aborde pas les questions spécifiques liées à la formation initiale.
Les dépenses de santé en 2014 - Résultats des comptes de la santé - Édition 2015. DREES
Les Comptes de la santé fournissent une estimation de la consommation finale de soins de santé et des financements correspondants, qu’ils relèvent de l’Assurance maladie, de l’État, des collectivités locales, des organismes complémentaires ou directement des ménages. Ils constituent un des comptes satellites des Comptes nationaux, dont ils adoptent la méthodologie. Les données de ce rapport correspondent aux données provisoires de l’année 2014, aux données semi-définitives de l’année 2013 et aux données définitives des années 2006 à 2012. Ils servent de base à l’élaboration des Comptes de la santé présentés dans les instances internationales [système SHA de l’OCDE, d’Eurostat et de l’OMS] et permettent ainsi d’établir des comparaisons internationales.
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Les dépenses de santé en 2014. DREES, Etudes et Résultats, n° 935, septembre 2015
En 2014, la consommation de soins et de biens médicaux [CSBM], qui représente la valeur totale des biens et services qui concourent au traitement d’une perturbation provisoire de l’état de santé, est évaluée à 190,6 milliards d’euros, soit 8,9 % du produit intérieur brut.
Ce pourcentage croît légèrement depuis 2012. Sa progression en valeur, qui reste inférieure à 3 % depuis cinq ans, est néanmoins légèrement plus élevée en 2014 [+2,5 %] qu’en 2013 et 2012. La part de la CSBM financée par l’Assurance maladie, qui atteint 76,6 % en 2014, a progressé de 0,7 point entre 2011 et 2014, en raison du dynamisme des dépenses de soins hospitaliers, de soins infirmiers, de transports sanitaires, de dépenses de médicaments coûteux et de la hausse continue du nombre d’assurés exonérés du ticket modérateur.
À l’inverse, phénomène nouveau en 2014, la part des organismes complémentaires [13,5 % de la dépense] diminue légèrement. Le reste à charge des ménages s’établit à 8,5 % en 2014. Pour la troisième année consécutive, il baisse de 0,2 point, à la suite de la hausse de la part des dépenses prises en charge par l’ensemble des autres financeurs.
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FIPHFP Rapport annuel 2014. Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique
Le taux d'emploi légal de personnes en situation de handicap dans la fonction publique s’élève à 4,90 % en 2014. La fonction publique territoriale enregistre un taux d'emploi de 5,97 %, juste devant la fonction publique hospitalière, soit 5,34 %. La fonction publique de l’État comptabilise, elle, un taux de 3,83 %, selon ce rapport du FIPHFP (Fonds pour l'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique).
Les dépenses d'intervention du fonds se sont élevées à 181,05 millions d'euros en 2014 (+ 13 % par rapport à 2013). Le rapport souligne également que le FIPHFP a déjà mis en œuvre plus de la moitié des orientations du CIH, Comité interministériel du handicap de septembre 2013, en particulier : la poursuite des programmes exceptionnels d'accessibilité des locaux et d'accessibilité numérique ou encore la contribution à la généralisation du processus d'évaluation de l'employabilité des personnes les plus éloignées de l'emploi, dispositif expérimental mis en œuvre dans 10 MDPH, maisons départementales des personnes handicapées.
Une partie du document centré sur la formation présente, notamment : l’amélioration de l’offre pour amplifier l’apprentissage des jeunes dans la Fonction publique et la mobilisation des aides afin de permettre aux jeunes en situation de handicap d’effectuer un service civique. Par ailleurs, 1 063 aides ont été financées par le FIPHFP dans le domaine de la formation en 2014, soit : 957 aides dédiées à la formation des travailleurs en situation de handicap et 106 pour la formation des personnels susceptibles d’être en relation avec eux.
Plusieurs témoignages ou interview illustrent ces sujets dont une interview d'Emmanuelle Wargon, Déléguée générale à l’emploi et à la formation professionnelle.
(source résumé : Centre Inffo, Ressources documentaires de la formation)
Les comptes de la Sécurité sociale. Résultats 2014, prévisions 2015 et 2016. Commission de la Sécurité sociale, septembre 2015
La Commission présente les comptes de la Sécurité sociale pour 2014 ainsi que les comptes prévisionnels tendanciels pour 2015 et 2016. Après une amélioration en 2014, l'activité économique mondiale a décéléré en 2015 (3,2% contre 3,4% en 2014), mais avec de fortes disparités selon les zones : les économies avancées ont vu leur croissance se poursuivre, quoiqu'à un rythme un peu plus faible qu'en 2014 ; en revanche, le ralentissement a été plus marqué dans les économies émergentes (4% de progression du PIB attendue en 2015, contre 4,6% en 2014). La croissance mondiale se raffermirait en 2016 pour atteindre 3,8%. La prévision de croissance pour 2016 présentée par le Gouvernement dans le cadre du PLF et du PLFSS pour 2016 est conforme à celle du programme de stabilité (1,5%), même si les prévisions de progression de masse salariale ont été revues à la hausse pour 2015 (1,7% au lieu de 1,3%) et 2016 (2,8% au lieu de 2,7%). La révision à la hausse de l'évolution de la masse salariale majore les prévisions de recettes des organismes de sécurité sociale assises sur les salaires (cotisations sociales et CSG) par rapport à l'estimation initiale de la commission des comptes de juin 2015.
Le régime social des indépendants (RSI). Avis du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Monique Weber, septembre 2015
La création en 2006 d’une caisse nationale unique pour les travailleurs indépendants a connu de nombreuses vicissitudes, aujourd’hui en voie de normalisation. Certains problèmes structurels demeurent : architecture complexe faisant intervenir l’ACOSS, les URSSAF et les organismes conventionnés, difficulté pour assurer l’interopérabilité des systèmes d’information, méconnaissance des mécanismes de cotisation... Le CESE préconise plusieurs mesures pour améliorer le recouvrement des cotisations, renforcer la prévention, l’accompagnement et garantir une restructuration efficiente. Pour autant, la couverture sociale des auto-entrepreneurs, toujours plus nombreux et parfois peu au fait de la gestion de l’entreprise, reste un défi pour le RSI.
Evaluation des préfigurations du service public régional de l’orientation (SPRO). IGAS, mai 2015
Plus de deux ans après la mission interministérielle sur le service public régional d’orientation (SPRO), ce rapport -piloté par l’IGAS et l’IGAENR, l’IGEN et l’IGJS - fait le point sur l’expérimentation du service public régional de l’orientation (SPRO) alors que le pilotage de ce service public repose sur les régions, elles-mêmes profondément impactées par la réforme de la carte territoriale.
Le rapport constate que le déploiement du SPRO n’est achevé dans aucune des régions mais que, cependant, toutes ont choisi de rassembler les acteurs du SPRO autour de valeurs et de principes partagés.
Dans ce contexte, la mission interministérielle dresse un constat des difficultés et des risques et énonce quelques recommandations, notamment celle d’une évaluation à court terme de la mise en œuvre du SPRO.
Le rapport constate que le déploiement du SPRO n’est achevé dans aucune des régions mais que, cependant, toutes ont choisi de rassembler les acteurs du SPRO autour de valeurs et de principes partagés.
Dans ce contexte, la mission interministérielle dresse un constat des difficultés et des risques et énonce quelques recommandations, notamment celle d’une évaluation à court terme de la mise en œuvre du SPRO.
Le compte personnel d'activité, de l'utopie au concret. France Stratégie, octobre 2015
Par lettre de mission du 6 juillet 2015, le Premier ministre a chargé France Stratégie d'animer une réflexion visant à proposer les options envisageables pour la mise en place du compte personnel d'activité (CPA), dispositif annoncé par le président de la République début avril et inscrit dans l'article 38 de la loi relative au dialogue social et à l'emploi du 17 août 2015. Le rapport examine les objectifs et les principes du CPA et dessine plusieurs scénarios pour sa mise en œuvre. Ce dispositif a pour objectif de réunir sous un même compte l'ensemble des droits sociaux utiles à chacun pour sécuriser son parcours professionnel.
Transformation numérique et vie au travail. Ministère du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social, Bruno Mettling, septembre 2015
Le rapport met en avant les effets de la transformation numérique sur le monde du travail. Six impacts majeurs de la transformation numérique ont été identifiés : la diffusion massive de nouveaux outils de travail ; l'impact sur les métiers et les compétences ; l'impact sur l'organisation du travail ; l'impact sur le management ; de nouvelles formes de travail hors salariat ; l'environnement de travail des cadres. Face à ce constat, le rapport présente 36 préconisations dont l'objectif est d'accompagner la transition numérique.
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La santé, bien commun de la société numérique (Construire le réseau du soin et du prendre soin). Conseil national du numérique (CNNum), octobre 2015
Le Conseil national du numérique a remis son rapport sur “La santé, bien commun de la société numérique” à Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales de la Santé et des droits des femmes, le mardi 13 octobre 2015. Il présente ainsi 15 propositions pour renforcer un écosystème d’innovation en santé et construire un vaste réseau de soignants-soignés, aidants-aidés, composé des acteurs traditionnels de la santé, de la sphère médico-sociale, mais aussi de l’entourage de proximité.
Guide du salarié sur son évolution professionnelle. Uniformation, octobre 2015
Ce guide fournit, en 17 fiches pratiques, un outil afin d'aider les salariés à analyser leur projet, à le mettre en œuvre, à faire le point sur leurs compétences, à suivre une formation, à s’inscrire à une permanence et à mobiliser leur CPF.
Des conseils sont proposés sur les démarches à suivre, les contacts à privilégier ou les questions à se poser.
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Des conseils sont proposés sur les démarches à suivre, les contacts à privilégier ou les questions à se poser.
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Mission d’évaluation du financement et des conditions de développement de l’apprentissage aux métiers du sport et de l’animation. Inspection Générale de la Jeunesse et des Sports, avril 2015
Par lettre de mission du 27 octobre 2014, le ministre de la ville, de la jeunesse et des sports a saisi le chef du service de l'inspection générale de la jeunesse et des sports (IGJS) d'une mission d'évaluation du financement de l'apprentissage aux métiers du sport et de l'animation. Cette demande s'inscrivait dans la suite donnée aux rapports de l'IGJS de décembre 2013 et février 2014, relatifs à l'évaluation de la politique ministérielle de formation et de certification aux métiers du sport et de l'animation. Ces rapports proposaient notamment de favoriser un développement plus ambitieux des contrats d'apprentissage dans les métiers du sport et de l'animation et formulaient plusieurs préconisations, dont celle d'évaluer le financement des centres de formation d'apprentis (CFA) du secteur.
Ce rapport, remis en août 2015, traite, au-delà de la question du financement des CFA, des conditions de développement de l’apprentissage aux métiers du sport et de l’animation.
Diplômés de formations sociales en 2010 : une insertion professionnelle qui résiste à la crise. DREES, Etudes et résultats, n° 936, octobre 2015
Les diplômés de formations sociales de niveau III (équivalent à un bac+2) ou IV (équivalent au baccalauréat) sortis du système éducatif en 2010 sont en majorité des femmes. Arrivés sur un marché du travail dégradé par la crise financière de 2008, ils s’insèrent plus vite et d’une manière plus stable que les diplômés de niveau équivalent. 85 % d’entre eux ont trouvé un emploi en trois mois, contre 67 % des autres diplômés de niveau équivalent, et 37 % des premiers emplois qu’ils ont occupés ont duré au moins deux ans, contre 32 % pour les autres diplômés de même niveau.
Moins exposés au chômage ou à l’inactivité, environ six sortants de formations sociales sur dix bénéficient d’un emploi à durée indéterminée trois ans après l’obtention de leur diplôme. Leur situation est toutefois moins favorable que celle des diplômés de 2007.
Le salaire médian des diplômés de formations sociales est un peu plus élevé que celui des diplômés hors social de niveau équivalent : au premier emploi, il est de 1 350 euros constants pour le niveau III et de 1 300 euros pour le niveau IV. Cependant, la progression des salaires au cours des trois premières années d’expérience professionnelle est négative pour les métiers du social, contrairement à celle des diplômés des autres secteurs de même niveau.
La reconnaissance des diplômes dans les classifications de branches - Des évolutions sans révolution. Cereq, Bref, n° 339, 2015
La référence aux diplômes reste toujours aussi présente dans le classement des emplois des branches professionnelles, dans un contexte d'évolution des modèles de grilles de classification. Parallèlement, la place des certifications de branche s'accroît. Si la reconnaissance des diplômes ne s’opère qu’au moment de l'accès à l'emploi, celle des certificats de qualification professionnelle (CQP) se produit aussi tout au long du déroulement de carrière des salariés en poste.
Douze ans de formation continue universitaire de 2001 à 2012. Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP), Note d’Information, n° 30, septembre 2015
La formation continue dans les universités accueille plus de 300 000 stagiaires en 2012, soit 21 % de plus qu’en 2001. Les salariés et les demandeurs d’emploi représentent une part de plus en plus grande des inscrits. La part des formations diplômantes s’est renforcée sur tout le territoire, grâce notamment au succès rencontré par la licence professionnelle en formation continue.
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Rapport mondial sur le vieillissement et la santé. Organisation mondiale de la Santé, 2015
Aujourd'hui pour la première fois dans l'histoire, la majorité des populations peuvent espérer vivre jusqu'à 60 ans et au-delà. Combinée à une baisse marquée des taux de fécondité, cette augmentation de l'espérance de vie conduit à un vieillissement rapide des populations partout dans le monde. Il s'agit là d'un profond bouleversement et ses répercussions sont considérables.
Une action globale de santé publique en matière de vieillissement de la population est nécessaire de toute urgence. Cela nécessitera des changements fondamentaux, et pas uniquement dans ce que nous réalisons, mais dans la façon dont nous concevons le vieillissement lui-même.
Le Rapport mondial sur le vieillissement et la santé définit un cadre d’action pour favoriser le vieillissement en bonne santé, construit autour du nouveau concept des capacités fonctionnelles. Cela exigera une transformation des systèmes de santé s’éloignant des modèles curatifs basés sur la maladie pour préconiser la prestation de soins intégrés et centrés sur la personne âgée.
Tous ensemble, sauvons les antibiotiques - Rapport du groupe de travail spécial pour la préservation des antibiotiques. Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, Dr Jean Carlet et Pierre Le Coz, juin 2015
En France, selon l'étude Burden menée par l'Institut de veille sanitaire (InVS), 12 500 décès sont liés à une bactérie multi-résistante, pour 158 000 infections. Mis en place en janvier 2015, le groupe de travail spécial pour la préservation des antibiotiques a eu pour mission de formuler des propositions qui doivent participer à réduire de 25% la consommation d'antibiotiques en France d'ici fin 2016. Quatre axes ont été identifiés pour parvenir à limiter l'émergence et la dissémination des résistances bactériennes : approfondir les recherches, en particulier de nouveaux produits luttant contre l'antibiorésistance ; mieux suivre l'évolution globale du phénomène via des indicateurs normalisés et partagés ; améliorer l'usage des antibiotiques ; accroître la sensibilisation des populations au bon usage des antibiotiques. Le groupe de travail formule ensuite une série de recommandations : mettre en place un comité interministériel en charge de coordonner les actions de lutte contre l'antibiorésistance, piloté par un délégué interministériel avec l'appui de comités de pilotage dédiés spécifiquement à la recherche, à l'innovation et à la communication ; créer un Plan national interdisciplinaire de recherche sur l'antibiorésistance, en lui affectant les ressources nécessaires pendant 5 ans, afin de comprendre le phénomène dans sa globalité ; soutenir le développement de produits innovants contre l'antibiorésistance par la création d'un statut particulier ; reconnaître, en 2016, la lutte contre l'antibiorésistance comme « Grande cause nationale ».
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Enquête sur les Centres Médico-Psychologiques [CMP] de la région Rhône-Alpes. Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, 2015
Au printemps 2014, une enquête a été menée par l'ARS Rhône-Alpes auprès des Centres Médico-Psychologiques de la région afin de mieux connaître leur situation et de renforcer, si possible, dans un second temps certains CMP selon des critères objectifs. L'enquête réalisée a concerné 318 CMP rattachés à 20 établissements soit plus de 98% des CMP de la région. Le questionnaire constitué de 71 questions fermées et 108 questions ouvertes a été construit par l'ARS Rhône-Alpes en s'inspirant du document de l'Agence Nationale d'Appui à la Performance des établissements de santé et médico-sociaux [ANAP] : L'organisation des centres médico-psychologiques – guide des bonnes pratiques organisationnelles. Le questionnaire a ensuite été présenté au groupe régional de travail sur le recueil d'information médicale en psychiatrie pour avis et pré-testé auprès de 4 psychiatres travaillant en CMP. Il a été modifié en fonction des différentes remarques émises, avant diffusion à l’ensemble des établissements.
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