- à poursuivre la mobilisation des employeurs  pour le recrutement des jeunes en emplois d’avenir en 2015, en maintenant les ambitions initiales sur le dispositif

 notamment sur  la durée et la qualité des contrats, et  le ciblage du public :  les jeunes n’ayant pas le bac,  et en particulier les jeunes résidant en ZUS ;  

- à amplifier  les  efforts  de  tous  sur  l’accompagnement  des  jeunes  tout  au  long  de  leur  parcours  en emplois d’avenir et tout spécifiquement sur leur formation ; tous les jeunes embauchés doivent pouvoir  bénéficier  d’un  parcours  de  formation,  notamment  qualifiante,  et  d’acquisition  de  compétences  pour préparer une sortie réussie. 

La DGEFP insiste justement sur le suivi de ces jeunes par les prescripteurs d’emploi d’avenir, particulièrement au niveau du premier contact, un mois après la prise de poste du jeune et du bilan d’intégration à réaliser trois mois après l’entrée du jeune dans l’entreprise. Une dynamique pour laquelle sont mobilisés les Missions locales, Cap emploi et Pôle emploi, chargés d’assurer le suivi du jeune et son retour le plus rapide dans l’emploi durable. Au plan national, le suivi de ces sorties et le retour dans l’emploi des ex-emplois d’avenir fera l’objet d’un pilotage spécifique au sein d’un comité présidé par le ministère du Travail au sein duquel siégeront la DGEFP, l’Union nationale des Missions locales.