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Contexte

La communication, outil privilégié pour entrer en relation avec l’autre, est souvent altérée dans la relation de soins. Que cela soit dû aux pathologies du patient, à des déficits acquis ou liés à l’âge, à des accidents de la vie, des troubles cognitifs, des patients en fin de vie, la liste est longue. Le législateur demande aux soignants de s’assurer de l’adhésion aux soins de ces patients, du respect de leur volonté, de leur dignité. Comment le soignant peut-il s’appuyer sur la communication non verbale quand le langage verbal n’est plus fiable ? Comment faire la différence entre les interprétations du soignant, ces projections et une analyse fine du comportement non verbal du malade ? Quels outils sont mis à la disposition des soignants pour pallier ces déficits ? Quelles en sont les limites ? Comment faire des familles des alliés ? Les nouvelles technologies peuvent-elles nous apporter des aides ?

Objectifs

  • Faire prendre conscience que la communication en santé est partie intégrante des actes de soins quotidiens, qu’elle s’acquiert et est une composante importante tout au long de la prise en charge du patient, de la famille et de ses proches de l’accueil à la sortie du patient
  • Comprendre que la communication peut affecter, positivement comme négativement, la qualité et la sécurité des soins et conduire à des événements indésirables
  • Savoir utiliser une communication et relation en santé adaptée à la personne et au type d’information (ex. annonce d’une mauvaise nouvelle, recueil d’un consentement) et au type de situation (ex. urgence, pathologie chronique)
  • Maximiser les opportunités pour les professionnels d’impliquer les patients et leur entourage dans les soins et les traitements

Renseignements complémentaires

Durée : 3 jours

Public

Tout agent de la FPH

Exercice

2024

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Nature

AFN

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ANTIDOTE / FORMAVENIR / ELIDE FORMATION